Le groupe GiFi, connu pour ses magasins de bazar, vient d’annoncer des nouvelles bien peu réjouissantes. Pas moins de 11 de ses points de vente vont être fermés à travers la France, dont deux en Franche-Comté. Cette initiative s’inscrit dans un plan de sauvegarde de l’emploi qui prévoit la suppression d’environ 300 postes, soit 5 % de l’effectif global. Les raisons derrière cette décision tiennent à des pertes financières accumulées et à une concurrence de plus en plus féroce.
EN BREF
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Le groupe Gifi a récemment annoncé la fermeture de 11 de ses magasins à travers la France, touchant au passage deux établissements en Franche-Comté, à Besançon et Saint-Claude. En conséquence, environ 300 postes seront supprimés, ce qui représente 5 % de l’effectif total du groupe. Ce plan de sauvegarde de l’emploi a été révélé le 3 avril 2025 et fait suite à des difficultés économiques persistantes.
Un plan de sauvegarde nécessaire
La décision de Gifi s’inscrit dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) suite à des pertes financières que l’enseigne encaisse depuis deux ans. Ce plan concerne un total de 300 employés, dont 116 dans les magasins fermés. Les autres salariés touchés travaillent au siège situé à Villeneuve-sur-Lot, dans le Lot-et-Garonne. Ces fermetures prennent place après une restructuration entreprise en janvier avec l’espoir de stabiliser la situation de l’entreprise.
Magasins concernés par la fermeture
Les magasins qui seront fermés sont répartis dans plusieurs villes, notamment Lyon, Thiais (Val-de-Marne), Stains (Seine-Saint-Denis), Pontault-Combault (Seine-et-Marne), Toulouse, Neuville-en-Ferrain (Nord), Saint-Claude (Jura), Saverne (Bas-Rhin), La Ferté Macé (Orne), Tonnerre (Yonne) et Besançon. Ces décisions affectent directement l’emploi local et soulèvent des préoccupations sur l’avenir de l’enseigne.
Les défis économiques de Gifi
Depuis deux ans, Gifi fait face à de nombreux défis, dont la concurrence croissante d’autres chaînes de magasins telles que Action et Maxibazar, ainsi qu’à l’essor des plateformes de commerce en ligne comme le site chinois Temu. De plus, un changement de système informatique en 2023 a compliqué encore plus les affaires pour l’enseigne, aggravant des difficultés déjà présentes.
Impact sur l’effectif et l’avenir de Gifi
Le groupe emploie actuellement 6 000 personnes en France et ces fermetures ne sont qu’un aspect des répercussions négatives auxquelles il doit faire face. Alors que l’entreprise a encore réussi à générer un chiffre d’affaires de 1,2 milliard d’euros en 2024, ces pertes pourraient remettre en question l’avenir même de l’enseigne. Gifi espérait redresser sa situation après avoir obtenu un soutien financier de ses banques pour sa restructuration.
Focus sur la France
Les changements dans le paysage commercial en France, en particulier dans des régions comme la Franche-Comté, sont significatifs. L’évolution des habitudes de consommation et la compétition accrue mettent de plus en plus de pression sur les enseignes traditionnelles. Pour plus d’informations sur l’impact des tendances de consommation dans la région, consultez cet article ici.
Les conséquences pour les clients
La fermeture des magasins Gifi créera un vide dans l’offre locale, surtout pour ceux qui apprécient les articles tendances à bas prix. Les clients de Franche-Comté devront se tourner vers d’autres enseignes ou options en ligne pour satisfaire leurs besoins en termes de décoration et d’équipement. Pour suivre les évolutions dans le domaine, notamment en ce qui concerne les prix des produits divers comme le CBD, vous pouvez lire cet article intéressant ici.
Les défis locaux face à la digitalisation
La transition vers des solutions numériques reste un enjeu crucial. La concurrence en ligne, combinée aux fermetures physiques, pose la question de la viabilité des magasins traditionnels face à la digitalisation rampante. Pour une perspective sur l’avenir de certains services locaux, un article couvre la situation ferroviaire en Haute-Saône ici.
Un marché en mutation
Alors que Gifi poursuit ses efforts pour se réadapter à un marché en pleine mutation, le paysage commercial en France devra inévitablement évoluer. Les stratégies qu’adoptera l’enseigne et ses concurrents seront déterminantes pour comprendre comment le marché du bazar et de la décoration se comportera dans les années à venir. Pour rester informé sur les faits récents, consultez cet article concernant un incident sur la route A31 ici.
Fermeture de 11 magasins GiFi : Focus sur Franche-Comté
La récente annonce de GiFi concernant la fermeture de 11 de ses magasins à travers la France a suscité de vives inquiétudes, notamment en Franche-Comté où deux enseignes, situées à Besançon et Saint-Claude, ne seront plus opérationnelles. Cette décision s’inscrit dans un plan de sauvegarde de l’emploi qui prévoit la suppression de près de 300 postes, soit environ 5 % des effectifs totaux de l’entreprise.
Le groupe, qui emploie au total 6.000 personnes, traverse une période difficile. Malgré une restructuration mise en place en janvier dernier, la situation n’a pas réussi à s’améliorer. Des fermetures de magasins sont donc devenues nécessaires pour contrer des pertes financières accrues. Avec un chiffre d’affaires de 1,2 milliard d’euros en 2024, l’entreprise n’a pas connu de profit depuis deux ans, un fait sans précédent dans son histoire.
Les enseignes touchées par cette mesure ne se trouvent pas uniquement en Franche-Comté. Des magasins situés dans diverses villes comme Lyon, Toulouse et Neuville-en-Ferrain font également partie de cette vague de fermetures. Cette situation résulte de la compétition intense à laquelle fait face GiFi de la part de concurrents tels qu’Action et Maxibazar, ainsi que des plateformes de vente en ligne.
Le changement de système informatique opéré en 2023 a également été pointé du doigt comme un facteur aggravant, perturbant les opérations quotidiennes de l’entreprise. Ainsi, la fermeture de ces points de vente semble être un dernier recours pour retrouver une stabilité financière et revoir ses ambitions sur le marché. Les conséquences sur l’emploi et l’économie locale en Franche-Comté se feront sentir, rappelant les défis permanents que doivent relever les enseignes du secteur.